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La physique de l’infiniment grand l’infiniment petit

Une étoile africaine

16 avril 2021

[**Découvrez l’histoire de Hambeleleni Davids, astrophysicienne née à Windhoek en Namibie, et dont la visite de l’observatoire H.E.S.S. a insufflé sa vocation.*]

Une interview parue dans l’Astronomie Afrique

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Hambeleleni Davids et je suis né à Windhoek, en Namibie. J’ai grandi dans une petite ville appelée Okongo, dans le nord de la Namibie. J’ai fait mes études secondaires au lycée Elcin Nkurenkuru, dans la région de Kavango West, et j’ai obtenu ma licence (avec mention) en physique et géologie à l’Université de Namibie (UNAM) en 2014. En 2015, j’ai entrepris des études de troisième cycle pour un Master en astrophysique à l’Université du Nord-Ouest (NWU), à Potchefstroom, en Afrique du Sud. Pour mon master, j’ai travaillé sur l’analyse des données des amas globulaires qui sont de grandes collections de vieilles étoiles en orbite autour du noyau d’une galaxie. Les amas globulaires contiennent des pulsars millisecondes (MSP) qui émettent des rayons gamma (la forme la plus énergétique de la lumière). Les rayons gamma de ces objets sont facilement enregistrés par les télescopes et les satellites. Au début de 2017, je me suis inscrite pour un doctorat dans la même université (c’est-à-dire la NWU) et au milieu de l’année, j’ai reçu une offre pour un poste de maître de conférences à l’UNAM en Namibie. Cela m’a permis de poursuivre mes recherches de doctorat à temps partiel tout en enseignant la physique en premier cycle à l’UNAM. Je suis toujours chargée de cours de physique à l’UNAM et j’apporte les dernières corrections à ma thèse de doctorat. La thèse a été évaluée comme une « réussite ».

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Retrouvez l’interview complète dans la revue Astronomie Afrique, le magazine des sciences de l’univers en Afrique.